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mémoire

  • 18 avril 2005

    intérieur nuit c'est l'histoire qui semble absurde je me demande quelle fabrication de la pensée quel chemin emprunté restent quelques traces qu'un mouvement continu viendra combler de sédiments n'enlevant en rien l'histoire visible dans un plan de coupe accumulation d'impressions successives permettant à la pourriture de devenir plus tard le terreau du perce-neige et ainsi de suite

    j'en reviens à l'histoire la nécessité de lui apporter une fin empêchée jusqu'ici par un corps en latence dont la destruction totale n'a pas eu lieu au moment du drame il faudrait fouiller au milieu des désirs et reconstituer la scène pour comprendre ce corps épargné le désir de vivre

    revenir sur le lieu comme répéter le geste mental déjà trop éloigné